Les solutions

(1) Tullius

(2) Marcus

(3) Droit

(4) Sylla

(5) Avocat

(6) Cursus honorum

(7) Consulat

(8) 2ème fois

(9) chevalier (à biffer)

(10) Aristocrate (à garder)

(11) Bourgeois (à biffer)

(12) Plébéien (à biffer)

(13) Sénateur (à garder)

(14) la conjuration de Catilina

(15) traduction

(16) son style comporte des archaïsmes (ex. capiundae pour capiendae)

(17) gén. n. sg. du part. passé passif de pendere, peser, soupeser ; gén. partitif après quicquam

(18) subjonctif

(19) imparfait

(20) il s'agit d'une interrogation indirecte

(21) adjectif verbal (biffer gérondif)

(22) il se rapporte à rei publicae

(23) traduction

(24) Murena

(25) Silanus

(26) espions

(27) senatus consultus

(28) les pleins pouvoirs

(29) homo nouus

(30) rejet d'une réforma agraire

(31) défense des privilèges du pouvoir central

(32) Fulvia

(33) Laeca

(34) traduction

(35) le temple de Jupiter Stator

(36) protéger les sénateurs et lui-même et instaurer un climat de peur

(37) exorde

(38) ex abrupto

(39) traduction

(40) intimider

(41) preuves

(42) ratio

(43) Cicéron sait tout, il a des preuves et il énonce des faits

(44) pudor

(45) il fait des allusions au passé de Catilina. Il lui dit que moralement il ne peut plus rester : tout le monde le déteste

(46) metus

(47) Catilina devrait avoir peur d'une condamnation formelle du sénat. Il utilise l'argument du silence

(48) prosopopée

(49) Manlius

(50) gorges de l'Etrurie

(51) Toscane

(52) judiciaire

(53) Murena

(54) Sulpicius Rufus

(55) la fraude électorale par corruption

(56) Steven Saylor

(57) 62

(58) car c'est un militaire et il pourra mener contre Catilina une bataille prévisible

(59) Pistoia

(60) le peuple

(61) Cicéron a saisi des lettres confiées par Catilina aux Allobroges (cf. guet apens du pont Mulvius)

(62) père de la patrie

(63) Terentia

(64) Salluste

(65) Caton

(66) infliger la peine de mort

(67) selon les Anciens (la tradition), c'est la seule solution lorsque la vie de la Patrie est en jeu

(68) César

(69) ne pas infliger la peine capitale

(70) il s'agit d'une peine abolie depuis un demi-siècle et cela risque de créer un précédent

(71) Les Philippiques

(72) Antoine

(73) Octave

(74) rostres (tribune au forum)

(75) 43

(76) un démocrate aux bonnes intentions

(77) un révolutionnaire assoiffé de pouvoir

(78) à choisir par chacun en fonction de la réponse donnée au n° 79

(79) Julien Demarche a répondu " c'était un peu des deux " (n° 78) : "parce qu'il défendait, tout d'abord, les intérêts du peuple. N'étant pas riche, il connaissait la vie des Plébéiens ; il se proposait alors peut-être de faire changer les choses, et voulait que tout le monde soit traité plus justement. Réalisant que le peuple n'avait aucune chance d'être reconnu légalement, il aurait alors utilisé les armes. Mais il avait peut-être aussi en même temps une soif de pouvoir. Il semblait en effet assez égocentrique et il avait alors trouvé le moyen de satisfaire à la fois son besoin de pouvoir et d'aide au peuple.
Il n'y a pas de preuves de cela: même aujourd'hui, notre jugement doit être nuancé. A la lecture des textes de Cicéron et de Salluste, on a devant les yeux un homme de la pire espèce. Mais d'après la pièce de théâtre vue à Bruxelles, Catilina semble être le sauveur du peuple que les Optimates souhaitaient maintenir sous leur joug. De toute façon, il était tellement doué pour attirer les gens dans son filet qu'on ne sait pas ce qu'il voulait vraiment. A mon avis, les deux personnalités de Catilina cohabitaient en lui, tantôt l'une tantôt l'autre prenant le dessus. "

Bibliographie

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