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Date :     16-05-2013

Sujets :
Lecture : ENNODIUS de Pavie (474 - 521) à propos d'exemples et de leçons de vie donnés ; Lecture : HARIULFE de Saint-Riquier (1060 ? - 1143) à propos de l'origine des Mérovingiens ; Lecture : JEAN CASSIEN (360/365 - 433/435) et BERNARD de Clairvaux (1090/1091 - 1153) à propos de l'acédie ; Lecture : GREGOIRE le GRAND (pape de 590 à 604) : Quelle attitude faut-il avoir à l'égard des temples païens ? ; ITINERA ELECTRONICA & textes préparés : Grégoire le Grand, Ennodius de Pavie, Hariulfe de Saint-Riquier ; Statistiques de consultation - avril 2013 ;

Notice :

1. Lecture : ENNODIUS de Pavie (474 - 521) à propos d'exemples et de leçons de vie donnés :

Ennodius de Pavie, Lettres, Livre I, lettre XVIII :

… Viri fortis progenies armorum faciem inter patris agnoscit amplexus, et dum naturae obsequitur, discit amare terrorem. Doctorum radix Maro, uestri formator eloquii, sic animatum, uerbis patris filium memorat, ut dicat: « Disce, puer, uirtutem ex me »: et alibi, « Et pater Aeneas ». Nunquid ille iam fortibus ad certamina brachiis assurgebat, aut uirili ualetudine imminentia putabatur bella gesturus? Sed melius uirtus recentibus exemplis anima a, quam monitis, profectum corporis exspectabat. Scientes rerum aquilas ferunt pullos suos in ipso uitae limine, quo ouorum tunicis exuuntur, ad solis ponere radios et lucem seminis sui immensi splendoris obiectione cognoscere. Nunquid est in districta probatione impietas, cum recta sit iudicii in electione sententia? Nolunt quemquam perire de fetibus, sed suos esse qui cesserint, non agnoscunt. Recte enim illa inter aues sublimitas, genitrix putatur esse uictorum. …

… C’est à travers les caresses de son père que le fils d’un héros fait la connaissance des armes et, tout en obéissant aux inclinations de la nature, il apprend à aimer le danger. Le maitre des savants, Virgile, qui a formé votre éloquence, rappelle comment un père excitait son jeune fils par ces mots : « Apprends mon fils, apprends de moi le courage »; et ailleurs: « Et ton père Enée... » (Énéide, XII, 435, 440). Est-ce que cet enfant avait assez de vigueur pour se disposer à marcher sur l’heure au combat et son père le croyait-il capable de soutenir les guerres imminentes avec toute la valeur d’un homme? Assurément non, mais son héroïsme excité par les exemples qu’il avait dans le moment sous les yeux, mieux que par toutes les recommandations, attendait le complet développement de ses forces corporelles. Ceux qui ont étudié la nature racontent que les aigles, aussitôt que leurs petits à peine éclos, sont sortis de l’œuf, les présentent aux rayons du soleil et reconnaissent à l’épreuve de sa splendeur immense s’ils ont réellement les yeux de leur race. Accusera-t-on de cruauté la rigueur de cette épreuve, puisque, après tout, son choix est légitime et la sentence juste? Ils ne veulent certes laisser périr aucun de leurs petits, mais ils ne reconnaissent pas pour leurs aiglons ceux qui viennent à faiblir. N’est-ce pas avec raison que cette supériorité sur tous les oiseaux est considérée comme un gage de victoire? …


2. Lecture : HARIULFE de Saint-Riquier (1060 ? - 1143) à propos de l'origine des Mérovingiens :

Hariulfe, Chronique de l’abbaye de Saint-Riquier, Livre i, chap. 1 :

… Cum igitur, ut ex priscorum docemur historiis, Troiae ciues, expugnantibus Graecis, locum patrium deserentes, partim Italiam perrexissent, partim etiam finitima Pannoniae loca inhabitare coepissent, ibique eiusdem gentis pars, duodecim scilicet millia, in immanem populum excreuisset, ut naturali semper feritate uiguerunt, non se passi sunt promiscuo cum aliis nationibus nomine adnotari, sed ex semet caput sibi statuentes urbem condiderunt, quam Sicambriam uocauerunt, a qua scilicet et ipsi Sicambri nuncupati sunt. Tantae quippe idem populus semper fuit, imo est efficaciae, ut quaquauersum ueniens plus dominantis speciem, quam captiuati praetendat miseriam. Verum cum Deus omnipotens, cuius uelle posse est, praescius hanc gentem suae deitatis agnitionem deuotissime quandoque suscepturam, regni eam nomine et honore sublimari permisisset, primum regem traduntur habuisse Meroueum, ob cuius potentia facta, et mirificos triumphos intermisso Sicambrorum uocabulo, Merouingi dicti sunt, sicuti et ab Romanis, quorum iugum de suis excusserant ceruicibus, lingua Attica Franci, id est feroces, uocati sunt. …

… Nous apprenons par les anciennes histoires que des Troyens, après la prise de leur ville par les Grecs, abandonnèrent leur patrie, en se dirigeant vers l'Italie, et que d'autres arrivèrent sur les confins de la Pannonie, où ils s'établirent au nombre de douze mille, et s'accrurent bientôt au point de former un peuple nombreux. Ils étaient d'un naturel farouche ; et, ne voulant pas d'un nom qui fût commun à plusieurs nations, ils se choisirent un chef et fondèrent une ville à laquelle ils donnèrent le nom de Sicambrie, d'où ils furent eux-mêmes appelés Sicambres. Ce peuple fut toujours si puissant que, de quelque côté qu'il se présentât, il avait plutôt l'attitude fière d'un maître que l'air humilié d'un esclave. Mais le Dieu tout puissant, dont le vouloir est pouvoir, prévoyant que cette nation recevrait un jour avec dévotion la connaissance de sa divinité, permit qu'elle s'élevât au rang des autres nations et qu'elle formât un grand royaume. Son premier roi, au rapport des historiens, fut Mérovée, qui, par ses hauts faits et ses étonnants triomphes, mérita de changer le nom du peuple Sicambre et de lui donner le sien. Ses sujets furent donc appelés Mérovingiens ; mais les Romains, dont ils avaient brisé le joug, les désignèrent sous le nom de francs, qui, dans la langue attique, signifie féroces. …


3. Lecture : JEAN CASSIEN (360/365 - 433/435) et BERNARD de Clairvaux (1090/1091 - 1153) à propos de l'acédie :

Dans le journal LE MONDE, édition du 11 mai 2013, figure une interview de GEORGE STEINER et dont les propos ont été recueillis par NICOLAS WEILL.

La dernière question posée était la suivante : « Vous êtes en contact avec la jeunesse estudiantine. Quel sera son avenir, selon vous ? ».

Et voici la réponse de G. STEINER : « Il m’effraie. Nous sommes en train de créer une apathie chez les jeunes, une « acédie », grand mot médiéval, sur laquelle Dante et saint Thomas d’Aquin ont écrit des choses formidables. Cette forme de torpeur spirituelle me fait peur. Le philatéliste qui est prêt à tuer pour un timbre, lui, a de la chance. » Nous avons été consulter notre Banque de textes latins et avons ainsi pu retenir deux témoignages :

  • Jean CASSIEN (360/365 – vers 433/435), Les Conférences, V :

    II. Octo sunt principalia uitia quae humanum infestant genus, id est primum gastrimargia, quod sonat uentris ingluuies, secundum fornicatio, tertium filargyria, id est auaritia siue amor pecuniae, quartum ira, quintum tristitia, sextum acedia, id est anxietas seu taedium cordis, septimum cenodoxia, id est iactantia seu uana gloria, octauum superbia.

    Les vices principaux, nous dit-il, qui ravagent l'humanité sont au nombre de huit. Le premier est la gourmandise; le second, la fornication; le troisième, l'avarice ou l'amour de l'argent; le quatrième, la colère; le cinquième, la tristesse; le sixième, la paresse ou la lâcheté de coeur; le septième, la vaine gloire; le huitième, l'orgueil.

    X. Haec igitur octo uitia licet diuersos ortus ac dissimiles efficientias habeant, sex tamen priora, id est gastrimargia, fornicatio, filargyria, ira, tristitia, acedia quadam inter se cognatione et ut ita dixerim concatenatione conexa sunt, ita ut prioris exuberantia sequenti efficiatur exordium. nam de abundantia gastrimargiae fornicationem, de fornicatione filargyriam, de filargyria iram, de ira tristitiam, de tristitia acediam necesse est pullulare. ideo que simili contra haec modo atque eadem ratione pugnandum est et a praecedentibus semper aduersus sequentes oportet nos inire certamina. facilius enim cuiuslibet arboris noxia latitudo ac proceritas exarescet, si antea radices eius quibus innititur uel nudatae fuerint uel succisae, et infestantes umores aquarum continuo siccabuntur, cum generator earum fons ac profluentes uenae sollerti industria fuerint obturatae. quamobrem ut acedia uincatur, ante superanda tristitia est: ut tristitia propellatur, ira prius est extrudenda: ut extinguatur ira, filargyria calcanda est: ut euellatur filargyria, fornicatio conpescenda est: ut fornicatio subruatur, gastrimargiae est uitium castigandum. residua uero duo, id est cenodoxia et superbia sibi quidem similiter illa qua de superioribus uitiis diximus ratione iunguntur, ita ut incrementum prioris ortus efficiatur alterius (cenodoxiae enim exuberantia superbiae fomitem parit), sed ab illis sex prioribus uitiis penitus dissident nec simili cum eis societate foederantur, siquidem non solum nullam ex illis occasionem suae generationis accipiant, sed etiam contrario modo atque ordine suscitentur. nam illis euulsis haec uehementius fruticant et illorum morte uiuacius pullulant atque subcrescunt. unde etiam diuerso modo ab his duobus uitiis inpugnamur. in unumquodque enim illorum sex uitiorum tunc incidimus, cum a praecedentibus eorum fuerimus elisi, in haec uero duo uictores et uel maxime post triumphos periclitamur incurrere. omnia igitur uitia, quemadmodum incremento praecedentium generantur, ita illorum deminutione purgantur. et hac ratione ut superbia possit explodi, cenodoxia est praefocanda, et ita semper prioribus superatis sequentia conquiescent et extinctione praecedentium residuae passiones absque labore marcescent. et licet haec quae praediximus octo uitia illa qua conmemorauimus ratione inuicem sibi conexa atque permixta sint, specialius tamen in quattuor coniugationes et copulas diuiduntur. gastrimargiae namque fornicatio peculiari consortio foederatur: filargyriae ira, tristitiae acedia, cenodoxiae superbia familiariter coniugatur.

    Ces huit péchés ont des causes et des effets différents; mais les six premiers, la gourmandise, l'impureté, l'avarice, la colère, la tristesse et la paresse, ont des rapports entre eux et sont tellement enchaînés que chacun, arrivé à un certain degré, est le principe d'un autre. Ainsi, par leur excès, la gourmandise produit l'impureté; l'impureté, l'avarice; l'avarice, la colère; la colère, la tristesse; et la tristesse entraîne nécessairement à la paresse. C'est pourquoi il faut, pour les combattre, suivre le même ordre, et commencer toujours, par ceux qui précèdent, à détruire ceux qui suivent. Le plus facile moyen de faire mourir et sécher un grand arbre dont l'ombrage est nuisible, c'est d'en découvrir et d'en couper les racines qui le supportent; et pour arrêter l'eau qui désole une campagne, il faut en boucher la source et les ruisseaux. Ainsi, pour vaincre la paresse, il faut surmonter la tristesse ; pour bannir la tristesse , il faut chasser la colère; pour bannir la colère, il faut étouffer l'avarice ; pour arracher l'avarice, il faut comprimer l'impureté; pour détruire l'impureté, il faut chasser l'intempérance. Quant aux deux autres vices, la vaine gloire et l'orgueil , ils se tiennent entre eux comme ceux dont nous venons de parler. L'accroissement du premier est l'origine de l'autre ; beaucoup de vaine gloire fait naître l'orgueil. Ils sont séparés des six autres, et n'ont aucun rapport ensemble; car non-seulement ils n'en tirent pas leur origine, mais encore ils viennent d'un principe tout contraire; ils se développent davantage quand les autres vices sont arrachés, et ils croissent avec plus de vigueur, à mesure que les autres meurent. Aussi nous attaquent-ils d'une tout autre manière. Nous succombons à chacun des six premiers vices, en nous laissant vaincre par celui qui le précède, tandis que nous ne sommes jamais plus exposés aux derniers que lorsque nous avons triomphé des autres. Tous les vices sont donc produits par l'accroissement, et corrigés par la diminution de ceux qui les précèdent. Il faut donc, pour vaincre l'orgueil, étouffer la vaine gloire, et c'est lorsque les premiers sont surmontés, que les suivants s'apaisent; les passions se dessèchent en détruisant leurs racines. Quoique ces huit péchés principaux se lient tous ensemble, on peut établir entre eux quatre rapports plus particuliers. L'intempérance s'unit plus étroitement à l'impureté, l'avarice à la colère, la tristesse à la paresse , et la vaine gloire à l'orgueil.

  • Bernard de Clairvaux (saint ; 1090/1091 – 1153), Traité du règlement de la vie et de la discipline des mœurs, X, 30-31 :

    … Acediae genera duo sunt. Unum, quod ad opus Dei pigritare monachum ac dormitare compellit. Aliud, quod uagari huc illucque facit, ac fugere cohortatur de fratrum, cum quibus uiuit, societate.

    … Il existe deux espèces de paresse. L'une rend le moine lourd et le fait dormir en ce qui concerne l'oeuvre de Dieu. L'autre le fait errer de côté et d'autre, et le pousse à s'écarter de la société des frères avec lesquels il vit.

    31. … Gastrimargiae fornicatio, auaritiae ira, tristitiae acedia peculiari consortio foederantur.

    … La fornication et la gourmandise, la colère et l'avarice, la paresse et la tristesse ont des rapports qui les unissent intimement.


4. Lecture : GREGOIRE le GRAND (pape de 590 à 604) : Quelle attitude faut-il avoir à l'égard des temples païens ? :

Grégoire le Grand, Lettres, livre XI, lettre 76 :

… Cum uero uos Deus omnipotens ad reuerendissimum uirum fratrem nostrum Augustinum episcopum perduxerit, dicite ei quid diu mecum de causa Anglorum cogitans tractaui, uidelicet quia fana idolorum destrui in eadem gente minime debeant, sed ipsa quae in eis sunt idola destruantur. Aqua benedicta fiat, in eisdem fanis aspergatur, altaria construantur, reliquiae ponantur, quia si fana eadem bene constructa sunt, necesse est ut a cultu daemonum in obsequium ueri Dei debeant commutari, ut dum gens ipsa eadem fana non uidet destrui, de corde errorem deponat, et, Deum uerum cognoscens ac adorans, ad loca quae consueuit familiarius concurrat. Et quia boues solent in sacrificio daemonum multos occidere, debet his etiam hac de re aliqua solemnitas immutari, ut die dedicationis uel natalitiis sanctorum martyrum, quorum illic reliquiae ponuntur, tabernacula sibi circa easdem ecclesias quae ex fanis commutatae sunt, de ramis arborum faciant, et religiosis conuiuiis solemnitatem celebrent. Nec diabolo iam animalia immolent, sed ad laudem Dei in esum suum animalia occidant, et donatori omnium de satietate sua gratias referant, ut dum eis aliqua exterius gaudia reseruantur, ad interiora gaudia consentire facilius ualeant.

… Dès que le Dieu tout-puissant vous [abbé Mellite] aura conduit sain et sauf auprès de notre très révérend frère Augustin, communiquez-lui le résultat de ma longue délibération au sujet de l'Angleterre, à savoir que les temples des idoles existants dans ce pays ne doivent pas être détruits; mais, après la destruction des idoles qu'ils renferment actuellement, il faudra bénir de l'eau, faire des aspersions dans les temples, puis ensuite y élever des autels où l'on déposera des reliques. Car, si les temples en question ont été bien construits, on doit les faire passer du culte des idoles au service du vrai Dieu, afin que le peuple, observant le respect des chrétiens pour ses monuments religieux, soit porté à chasser l'erreur de son cœur, et qu'après avoir connu le vrai Dieu, il aille plus facilement aux temples avec lesquels il est familier. Néanmoins, comme le peuple est dans l'habitude d'égorger des bœufs dans les sacrifices de ses diables, il faudrait substituer quelque chose à cette solennité. En conséquence, le jour de la dédicace de l'Eglise ou celui de la fête des Martyrs, dont les reliques y seront déposées, le peuple pourrait construire ses tentes avec des branches d'arbres dans le voisinage de ces mêmes églises en qui les vieux temples ont été convertis, et y célébrer leur fête avec une joie religieuse, ne sacrifiant plus les animaux au diable, mais les tuant pour leur propre usage et à la gloire de Dieu ; ils remercieront de cette abondance le distributeur de toutes choses, et ils devront être d'autant mieux disposés aux satisfactions intérieures, que leurs fêtes innocentes seront encouragées avec plus d'indulgence.


5. ITINERA ELECTRONICA & textes préparés :

  • Grégoire le Grand (pape de 590 à 604), Lettres, livre XI (partim) [Traduction française reprise au site de Philippe Remacle]

    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/Aclassftp/textes/Gregorius_Magnus/lettres_lv11partim.txt français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/Aclassftp/textes/Gregorius_Magnus/lettres_lv11partim_fr.txt

  • Ennodius de Pavie (472 - 521), Lettres, livre I [Traduction française reprise au site de Philippe Remacle]

    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/Aclassftp/textes/ENNODIUS/lettres_01.txt français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/Aclassftp/textes/ENNODIUS/lettres_01_fr.txt

  • Hariulfe de Saint_Riquier (1060 , - 1143), Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, livre I [Traduction française reprise au site de Philippe Remacle]

    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/Aclassftp/textes/HARIULFE/chronicon_01.txt français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/Aclassftp/textes/HARIULFE/chronicon_01_fr.txt


6. Statistiques de consultation - avril 2013 :

Ces statistiques peuvent être relevées via le Serveur ACHILLE.

  • Site ITINERA ELECTRONICA:
    • sessions de travail ouvertes: 24.181 (29.144 en mars 2013)
    • pages visitées:45.110 (46.968 en avril 2013)
    • ENSEIGNEMENT : 30,23 % du total des pages consultées, dont 20,27 % (9.143 pages) pour GLOR 2330 (Expl. Auteurs latins ; P.-A. Deproost).

  • Site AGORACLASS - Environnements hypertextes (hors Corpora) :
    • sessions de travail ouvertes: 53.299 (63.947 en mars 2013)
    • pages visitées : 1.744.469 (2.189.105 en mars 2013)

  • Site AGORACLASS (CORPORA):
    • sessions de travail ouvertes: 12.941 (12.331 en mars 2013)
    • pages visitées: 1.269.572 (982.049 en mars 2013) CONCORDANCES les plus consultées : Apulée (22,78% du total des pages visitées) ; Sénèque, Lettres (8,65%)

  • Site BCS (Bibliotheca Classica Selecta):
    • sessions de travail ouvertes: 57.117 (59.931 en mars 2013)
    • pages visitées: 115.367 (126.426 en mars 2013)
    • pages les plus fréquemment demandées:

      • Folia Electronica Classica : 12.656 pages (16.803 en mars) ;
      • Suétone : 17.348 pages (20.962 en mars) ;
      • Virgile : 11.947 pages (11.282 en mars) ;
      • Précis grammatical (latin) : 6.788 pages (7.018 en février) ;
      • Précis grammatical (grec) : 5.081 pages (5.167 pages en mars 2013 )

  • Site COLLATINVS-UCL (lemmatisation - dictionnaire latin-français)
    • sessions de travail ouvertes : 9.184 (10.660 en mars 2013) ;
    • pages visitées: 28.236 (33.716 en mars 2013)

  • Site HODOI ELEKTRONIKAI :
    • sessions de travail ouvertes : 14.650 ; 16.732 en mars 2013 ;
    • pages visitées: 515.339
    • pages les plus visitées: Platon, Le Banquet : 9100 pages ;

  • Site HELIOS :
    • sessions de travail ouvertes : 69.148;
    • fichiers les plus fréquemment téléchargés :
      /gibaud/francais-4e/renaud_-_le_deserteur.mp3 596 fois
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    • pages visitées: 91.606


État de la banque de textes latins :

  • Etat du dictionnaire au 8 mars 2013 :

    374.297 formes différentes.
  • Etat du corpus de textes traités au 8 mars 2013 :

    172 auteurs, 1563 oeuvres, 10.217.844 occurrences.

  • État de la banque de textes grecs :

  • Etat du dictionnaire au 2 juillet 2010:

    543.825 formes différentes.
  • Etat du corpus de textes traités au 2 juillet 2010:

    98 auteurs, 1.378 oeuvres, 11.010.080 occurrences .

  • Jean Schumacher
    16 mai 2013


     
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    Dernière mise à jour : 17/02/2002