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Date :     31-01-2013

Sujets :
Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) : Comment remédier à une sédition (due à la pauvreté et à la disette) ? ; Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) : La fable de Jupiter et de Métis et l'art de gouverner ; Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) à propos du mariage des armes et des lettres ; Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) : Comment employer les heures de loisir ? ; ITINERA ELECTRONICA : 4 nouveaux environnements hypertextes : René Descartes (1596 - 1650) , Francis Bacon (1561 - 1626 ; x 3) ; Statistiques de consultation - janvier 2013 ;

Notice :

1. Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) : Comment remédier à une sédition (due à la pauvreté et à la disette) ?

Francis Bacon, Sermones fideles, XV, 11 :

[15,11] Primum contra seditiones remedium et praeuentio haec est, omni cum opera et diligentia caussam illam seditionum materialem, de qua dimixus amouere. paupertatem intelligo ciuium et inopiam. Cui inseruit commercii rationes bene liberare et bene librare, artifices et manufacturas introducere et fouere, desidiam et otium profligare, luxum et profusionem sumptuariis legibus coercere, solum et agros cultura lucrosissima subigere, rebus uenalibus pretia iusta imponere, census et tributa moderari, et similia. In genere praecauendum ut incolarum multitudo (temporibus scilicet pacis, quando gladius nihil demetit) regni prouentus, quibus ali possit, non excedat. Neque incolarum multitudo utrum superflua sit necne capitum numero solum censenda est. Sunto enim pauciores qui multum profundunt et parum lucrantur, plus illi atterent statum quam multo plures qui maiore parsimonia degunt, pecunias autem congerunt. Nobilium igitur et eminentioris dignitatis hominum numerus auctus, magis quam pro analogiae plebeiorum, celeriter statum depauperat. Quod etiam facit clerus numerosis. Illi enim sorti reipublicae nihil addunt. Idem quoque fit, cum plures in literis educantur quam quibus uictum suppeditare possint uocationes ciuiles.

[15,11] Le premier de tous ces remèdes, ou préservatifs, c'est d'ôter ou de diminuer, autant qu’il est possible, cette cause matérielle de sédition dont nous parlions plus haut, je veux dire la pauvreté, la disette qui se fait sentir dans un état. Or, les moyens qui peuvent mener à ce but sont de dégager toutes les routes du commerce, de lui en ouvrir de nouvelles, et d'en bien régler la balance; d'encourager les manufactures et l'industrie nationale ; de bannir l'oisiveté; de mettre un frein au luxe et aux dépenses ruineuses, par des lois somptuaires; encourager aussi, par des récompenses et des lois impartiales, tout ce qui tend à la perfection de l'agriculture; régler le prix des denrées et de toutes les choses commerçables ; modérer les taxes et les impositions, etc. Généralement parlant, il faut prendre garde aussi que la population, surtout quand les guerres ne la diminuent point, n'excède la quantité d'hommes que le royaume peut nourrir (par le produit de son agriculture, de son industrie et de son commerce). Mais pour pouvoir déterminer avec justesse la quantité de cette population, il ne suffit pas d'avoir égard au nombre absolu des têtes; car un petit nombre d'hommes, qui dépensent beaucoup et qui travaillent très peu, ruineraient plus promptement un état que ne le feraient un grand nombre d'hommes très laborieux et très économes. Aussi, lorsque le nombre des nobles et autres personnes de distinction est en trop grande proportion avec les classes inférieures du peuple, ils appauvrissent et épuisent l'état. Il en est de même d'un clergé très nombreux qui, après tout, ne met rien à la masse; ainsi que les gens de lettres, et en général les gens d'étude, dont le nombre ne doit pas non plus excéder de beaucoup celui que les émoluments des professions actives qui exigent des connaissances, peuvent entretenir.


2. Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) : La fable de Jupiter et de Métis et l'art de gouverner :

Francis Bacon, Sermones fideles, XX, 2 :

[20,2] Sapientia ueterum in parabola adumbrauit tam unionem et insolubilem coniunctionem consilii cum regibus, quam prudentem et politicum usum eiusdem per reges adhibendum. Alterum in eo, quod Iouem narrant Metim (quae uox consilium significat) in uxorem duxisse, in quo innuunt consilium imperio sponsae loco esse. Alterum in eo quod sequitur, quod huiusmodi commentum est. Tradunt, postquam Metis nupta fuisset Ioui, eam grauidam ex illo factam; Iouem autem non sustinuisse donec pararet, sed eam deuorasse; unde ipsum quoque grauidum factum, et Palladem armatam ex capite suo edidisse. Quae fabula portentosa arcanum imperii inuoluit. Hoc nimirum, ad quem modum reges erga consilium suum sanctius se gerere debeant: primum ut res deliberandas illis committant, quod est ueluti prima conceptio; secundo cum elaboratae et efformatae fuerint, ueluti in utero consilii sui, atque maturuerunt et partui uicinae sint, tum demum non permittant amplius consilio suo ut decretum perficiant, acsi res ex eorum auctoritate penderet, sed negotium ad se retrahant et palam omnibus faciant decreta et ordinationes ultimas (quae, quoniam cum prudentia et potestate exeunt, assimilantur Palladi armatae) a seipsis emanare, neque solum ab auctoritate sua, uerum etiam (quo magis existimationem suam euehant) ab ingenio et auctoritate propria peruenire.

[20,2] La haute sagesse de l'antiquité brille éminemment dans une fable qui parait avoir été inventée pour montrer aux rois combien il leur importe d'être étroitement unis, et en quelque manière incorporés avec leur conseil; mais en même temps avec quelle prudence et quelle politique ils doivent s'en servir. Car, en premier lieu, les poètes feignent que Jupiter épousa Métis, qui est l'emblème du conseil; première fiction qui nous donne à entendre que la souveraineté et le conseil doivent être mariés ensemble. En second lieu, après que Jupiter, ajoutent-ils, eut épousé Métis, elle conçut de lui; elle devint grosse : mais le dieu ne voulant pas attendre le terme de l'accouchement, la dévora ; il eut une espèce de grossesse, et ensuite il accoucha de Pallas, qui sortit de son cerveau toute armée. Cette fable, quelque monstrueuse qu'elle puisse paraître, ne laisse pas de renfermer un des plus grands secrets de l'art de gouverner; car elle nous montre, d'une manière sensible, comment le prince doit tirer parti de son conseil. Elle nous donne à entendre qu'il doit y proposer toutes les affaires importantes; ce qui répond à la première conception et à la première grossesse. En second lieu, quand les matières ayant été discutées, digérées, et, en quelque manière, couvées dans le sein de son conseil, sont en état d'être mises au jour, il ne doit pas permettre à ce conseil de passer outre, ni souffrir qu'il s'attribue à lui-même la décision, en la publiant en son propre nom, et connue de sa seule autorité. Il faut, au contraire, que le prince évoque à lui l'affaire en totalité, afin que la nation soit persuadée que tous les édits et les statuts (qu'on peut alors comparer à Pallas armée, parce qu'ils sont prononcés avec toute la maturité, la prudence et l'autorité nécessaires); que ces statuts, dis-je, émanent uniquement du chef suprême, et non seulement qu'ils procèdent de son autorité (ce qui serait suffisant pour montrer sa puissance, et insuffisant pour augmenter ou soutenir sa réputation), mais même de sa seule volonté, de sa seule prudence, et de son propre jugement.

Référence :

Hésiode, Théogonie, v. 886 sqq. :

Ζεὺς δὲ θεῶν βασιλεὺς πρώτην ἄλοχον θέτο Μῆτιν πλεῖστα θεῶν εἰδυῖαν ἰδὲ θνητῶν ἀνθρώπων. ἀλλ' ὅτε δὴ ῥ' ἤμελλε θεὰν γλαυκῶπιν Ἀθήνην τέξεσθαι, τότ' ἔπειτα δόλωι φρένας ἐξαπατήσας
890 αἱμυλίοισι λόγοισιν ἑὴν ἐσκάτθετο νηδὺν Γαίης φραδμοσύνηισι καὶ Οὐρανοῦ ἀστερόεντος· τὼς γάρ οἱ φρασάτην, ἵνα μὴ βασιληίδα τιμὴν ἄλλος ἔχοι Διὸς ἀντὶ θεῶν αἰειγενετάων· ἐκ γὰρ τῆς εἵμαρτο περίφρονα τέκνα γενέσθαι,
895 πρώτην μὲν κούρην γλαυκώπιδα Τριτογένειαν ἶσον ἔχουσαν πατρὶ μένος καὶ ἐπίφρονα βουλήν, αὐτὰρ ἔπειτ' ἄρα παῖδα θεῶν βασιλῆα καὶ ἀνδρῶν ἤμελλεν τέξεσθαι, ὑπέρβιον ἦτορ ἔχοντα. ἀλλ' ἄρα μιν Ζεὺς πρόσθεν ἑὴν ἐσκάτθετο νηδύν, [900] ὡς δή οἱ φράσσαιτο θεὰ ἀγαθόν τε κακόν τε.

(886) Ce roi des Immortels choisit pour première épouse Métis, la plus sage de toutes les filles des dieux et des hommes. Mais lorsque Métis fut sur le point d'accoucher de Minerve déesse aux yeux bleus, Jupiter, l'abusant par de flatteuses paroles, la renferma dans ses propres flancs, selon les conseils de la Terre et d'Uranus couronné d'étoiles, qui voulaient empêcher qu'au lieu de Jupiter, un autre des dieux immortels s'emparât de l'autorité souveraine ; car, suivant l'arrêt du Destin, Métis devait lui donner des enfants fameux par leur sagesse : (895) d'abord la vierge aux yeux bleus, Minerve Tritogénie, égale à son père en force et en prudence, puis un fils qui, rempli d'un superbe courage, deviendrait le roi des dieux et des mortels. Jupiter prévint un tel malheur en cachant Métis dans ses flancs, [900] afin que cette déesse lui procurât la connaissance du bien et du mal.


3. Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) à propos du mariage des armes et des lettres :

Francis Bacon, De la dignité et de l’accroissement des sciences, I, 13 :

… Viros quod attinet, exemplo sit nobile par imperatorum, Alexander Magnus et Iulius Caesar Dictator, alter Aristotelis in philosophia discipulus, alter Ciceronis in dicendo riualis. Aut si quis requirat potius literatos qui in claros imperatores euaserunt quam imperatores qui insigniter docti fuerunt, praesto est Epaminondas Thebanus, aut Xenophon Atheniensis ; quorum ille primus fuit qui fregit potentiam Spartanorum, hic autem primus qui strauit uiam ad euersionem monarchiae Persarum. Istud uero armorum literarumque quasi coniugium clarius adhuc in temporibus quam in personis elucescit, quanto nimirum saeculum homine obiectum grandius est. Ipsa quippe eademque tempora apud AEgyptios, Assyrios, Persas, Graecos, Romanosque, quae propter bellicam uirtutem maxime celebrantur, etiam et literis plurimum fuerunt nobilitata ; adeo ut grauissimi authores philosophique, et clarissimi duces atque imperatores, eodem saeculo uixerint. Nec sane aliter fieri potest, quandoquidem ut in homine uigor corporis animique simul fere maturescunt, niai quod ille hunc paulo anteuertat ; sic in rebus publicis, militaris gloria literataque (quarum illa corpori reapondet, haec animo) aut coeua sunt, aut se proxime consequuntur.

… Et quant à ce qui regarde les hommes, choisissons pour exemple ce noble couple de capitaines, Alexandre le grand et Jules César, dictateur; l'un, disciple d'Aristote; et l'autre, rival de Cicéron en éloquence. Ou, si l'on aime mieux envisager des Lettrés qui soient devenus grands capitaines que de grands capitaines qui soient devenus Lettrés, nous trouvons sous notre main Épaminondas thébain, et Xénophon athénien, deux personnages dont l'un fut le premier qui ruina la puissance des Spartiates; et l'autre, le premier qui fraya le chemin aux Grecs pour renverser la monarchie des Perses. Or, ce mariage des armes et des lettres est encore plus frappant dans les temps que dans les personnages; et cela en proportion qu'un objet, tel qu'un siècle tout entier, l'emporte par sa grandeur sur un seul individu. Car ce furent les mêmes, absolument les mêmes temps, qui, chez les Égyptiens, les Assyriens, les Perses, les Grecs et les Romains, furent tout à la fois les plus renommés pour la gloire militaire, et les plus illustrés par les lettres ; en sorte que les plus graves écrivains, les philosophes les plus profonds et les plus grands capitaines ont vécu dans le même siècle : et pouvait-il en être autrement, vu que dans l'homme la vigueur du corps et celle de l'esprit mûrissent presque en même temps; si ce n'est que celle-là précède de quelque peu ? De même, dans les républiques, la gloire militaire et la gloire littéraire, dont la première répond au corps, et la dernière à l'âme, sont contemporaines ou se suivent de fort prés.


4. Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) : Comment employer les heures de loisir ? :

Francis Bacon, De la dignité et de l’accroissement des sciences, I, 16 :

… Restat igitur quaerendum, qua in re et quomodo has subseciuas horas collocare oporteat; studiis an uoluptatibus, genio an ingenio, indulgendum ? Sicut recte respondit Demosthenes Æschini, homini uoluptatibus dedito, qui cum per contumeliam obiecisset "Orationes eius lucernam olere"; "Pol", inquit, "multum interest inter ea quae ego ac tu ad lucernam facimus". Quare neutiquam metuendum ne literae eliminent negotia ; quin potius uindicant animum ab otio et uoluptate, quae alias sensim ad utriusque damnum, et negotiorum et literarum, subintrare solent.

… Reste donc à savoir en quoi et comment il faut employer ces heures de loisir qu'on aura su se ménager : sera-ce aux études ou aux voluptés, à exercer son génie ou à se donner du bon temps? Ici se place très bien la réponse que fit Démosthènes à Eschine, homme adonné aux voluptés. Celui-ci lui objectant, par forme de reproche, que ses harangues sentaient la lampe : "sans doute", répondit-il, "elles la sentent; mais encore y a-t-il grande différence entre ce que toi et moi faisons à la lumière de cette lampe".
Il n'est donc nullement à craindre que les lettres donnent l'exclusion aux affaires ; tout au contraire elles garantissent l'âme de l'oisiveté et de la volupté, qui, sans cela, ne manquent guère de s'y insinuer peu-à-peu, au double préjudice des lettres et des affaires.

Cfr. Plutarque, Vies des hommes illustres, Vie de Démosthène, VIII, 4-5 :

(4) εἰς τοῦτο δ´ ἄλλοι τε πολλοὶ τῶν δημαγωγῶν ἐχλεύαζον αὐτόν, καὶ Πυθέας ἐπισκώπτων ἐλλυχνίων ἔφησεν ὄζειν αὐτοῦ τὰ ἐνθυμήματα. τοῦτον μὲν οὖν ἠμείψατο πικρῶς ὁ Δημοσθένης· (5) "οὐ ταὐτά" γὰρ εἶπεν "ἐμοὶ καὶ σοὶ ὁ λύχνος ὦ Πυθέα σύνοιδε."

(4) Il [Démosthène] était devenu par là pour les autres orateurs un sujet de raillerie; et Pythéas lui ayant dit un jour, en se moquant de lui, que ses raisonnements sentaient l'huile: (5) "Pythéas, repartit Démosthène avec aigreur, ta lampe [à huile] et la mienne nous éclairent pour des choses bien différentes."


5. ITINERA ELECTRONICA & environnements hypertextes :

  • René Descartes, Règles pour la direction de l'esprit, Règles XIII et XIV [Traduction française reprise au site WIKISOURCE]
  • Francis Bacon, De la dignité et de l'accroissement des sciences, livre I, paragraphes 11 à 20 [Texte latin et traduction française numérisés par nos soins]
  • Francis Bacon, Sermones fideles siue interiora rerum,Sermo XV : Des troubles et des séditions [Traduction française numérisés par nos soins]
  • Francis Bacon, Sermones fideles siue interiora rerum, Sermo XX : Du conseil (et des conseils d'état) [Traduction française numérisés par nos soins]

Les textes bruts de ces oeuvres sont disponibles dans le Dépôt ITINERA ELECTRONICA.


6. Statistiques de consultation - janvier 2013 :

Ces statistiques peuvent être relevées via le Serveur ACHILLE.

  • Site ITINERA ELECTRONICA:
    • sessions de travail ouvertes: 29.861 (53.955 en décembre 2012)
    • pages visitées: 63.089 (53.955 en décembre 2012)
    • ENSEIGNEMENT : 32,47% du total des pages consultées, dont 18,85% (11.894 pages) pour GLOR 2330.

  • Site AGORACLASS - Environnements hypertextes (hors Corpora) :
    • sessions de travail ouvertes: 67.779 (54.105 en décembre 2012)
    • pages visitées : 2.995.274 (2.031.655 en décembre 2012)

  • Site AGORACLASS (CORPORA):
    • sessions de travail ouvertes: 14.530 (13.512 en décembre 2012)
    • pages visitées: 1.004.208 (1.046.740 en décembre 2012) CONCORDANCES les plus consultées : Apulée (19,36% du total des pages visitées) ; Sénèque, Lettres (13,93%)

  • Site BCS (Bibliotheca Classica Selecta):
    • sessions de travail ouvertes: 53.421 (43.278 en décembre 2012)
    • pages visitées: 129.638 (113.477 en décembre)
    • pages les plus fréquemment demandées:

      • Folia Electronica Classica : 14.173 pages (12.311 en décembre ) ;
      • Suétone : 20.713 pages (18.743 en décembre) ;
      • Virgile : 13.453 pages (10.860 en décembre) ;
      • Précis grammatical (latin) : 7.770 pages (6.961en décembre) ;
      • Précis grammatical (grec) :5.452 pages (5.198 pages en décembre 2012)

  • Site COLLATINVS-UCL (lemmatisation - dictionnaire latin-français) :
    • sessions de travail ouvertes: 13.978 (13.408 en décembre 2012) ;
    • pages visitées: 45.661 (40.422 en décembre 2012)


État de la banque de textes latins :

  • Etat du dictionnaire au 1er février 2013 :

    373.677 formes différentes.
  • Etat du corpus de textes traités au 1er février 2013 :

    172 auteurs, 1541 oeuvres, 10.175.910 occurrences.

  • État de la banque de textes grecs :

  • Etat du dictionnaire au 2 juillet 2010:

    543.825 formes différentes.
  • Etat du corpus de textes traités au 2 juillet 2010:

    98 auteurs, 1.378 oeuvres, 11.010.080 occurrences .

  • Jean Schumacher
    1er février 2013


     
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    Dernière mise à jour : 17/02/2002