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Date :     10-10-2014

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LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) : un des intervenants du dialogue de la guerre sacrée, après avoir parlé, positivement, des Incas, des Péruviens, des Mexicains et des hommes de l'Orient, se plaît à juger très sévèrement les Turcs ; LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) : La loi de la nature autorise une guerre contre les ennemis du genre humain ; LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) : Un intervenant dans le dialogue de la guerre sacrée se demande : Un gouvernement exercé par des femmes ne va-t-il pas contre les lois de la nature ? ; LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) a le sentiment que la plupart des fables {anciennes} n'étaient pas de l'invention des poètes qui les ont publiées ou rendues célèbres, tels que Homère, Hésiode, etc. ; ITINERA ELECTRONICA : Environnements hypertextes et Textes préparés : Francis Bacon (x 4), Pierre Chrysologue ; FEC (FOLIA ELECTRONICA CLASSICA) : fascicule 27 : Table des matières ;

Notice :

1. LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) : un des intervenants du dialogue de la guerre sacrée, après avoir parlé, positivement, des Incas, des Péruviens, des Mexicains et des hommes de l'Orient, se plaît à juger très sévèrement les Turcs :

Francis Bacon, De la guerre sacrée, I :

... Ita ut si aequa lance res ponderetur, imperium Turcarum censeri possit magis barbarum, quam horum quoduis. Tyrannis crudelissima, polluta sanguine imperatorum suorum in successionibus singulis ; mancipiorum et uassallorum massa ; sine nobilibus; sine generosis ; sine ingenuis; haereditates nullae ; nullae stirpes antiquae ; gens sine "affectibus naturalibus"; quaeque (ut ait Scriptura) "non mouetur desideriis mulierum" ; immisericors, et incuriosa erga liberos proprios; gens sine institutionibus moralibus ; sine literis, artibus, et scientiis ; quae uix iugerum agri, aut horam diei mensurare norit ; sordida, et immunda in aedificiis, uictu, et similibus : atque (ut uerbo dicam) opprobrium merum generis humani. Ista tamen natio hortum mundi in eremum uertit. Nam (ut recte habetur in prouerbio) : "Ubi equus Ottomanni pedem ponit, populus uix crescet". ...

... À bien examiner, on trouvera que les Turcs sont plus barbares que les nations dont nous venons de parler : un gouvernement tyrannique teint du sang des empereurs à chaque succession; une foule de vassaux et d'esclaves ; point de seigneurs, point de gentilshommes, point d'hommes libres, point d'héritage, point d'anciennes familles ; des hommes qui sont dépourvus de toutes les affections naturelles, et qui, selon le langage de l'Ecriture sainte, comptent pour rien les désirs des femmes : un peuple sans piété filiale, sans amour paternel, sans morale, qui n'a ni sciences, ni arts, ni belles-lettres, qui sait à peine mesurer un arpent de terre ou une heure du jour; sale et sans goût dans sa manière de vivre et de se loger ; en un mot la honte de la société humaine. Et pourtant cette nation a changé le jardin du monde en un désert ; car on l'a justement observé : la terre qui porte l'empreinte des pieds du cheval d'un musulman ne produit plus de blé. ...


2. LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) : La loi de la nature autorise une guerre contre les ennemis du genre humain :

Francis Bacon, Dialogue de la guerre sacrée :

... Vera enim causa huius rei haec est ; quod piratae communes humani generis hostes sint ; quos idcirco omnibus nationibus persequi incumbit, non tam propter metus proprios, quam respectu foederis inter homines socialis. Sicut enim quaedam sunt foedera in scriptis, et in tractatus redacta, contra hostes particulares inita : ita naturalis et tacita confoederatio inter omnes homines intercedit, contra communes societatis humanae hostes. Adeo ut, ad huiusmodi bella indicenda, non opus sit denunciatione aliqua solenni ; non exspectanda supplicatio a natione laesa ut summittantur auxilia ; sed istiusmodi formulas omnes supplet ius naturae in bello piratico. Idem censendum est de latronibus per terram, et insidiatoribus uiarum ; quales adhuc dicuntur pagi nonnulli Arabum ; et reguli quidam montani, qui secus angustas uias, et a uiatoribus frequentatas, habitant. Neque (ut prius de piratis dictum est) principibus tantum uicinis hos debellare conceditur ; uerum etiam, si quae natio sit, quantumuis longe dissita, quae merito et gloriae sibi duceret bellum istud suscipere (ueluti Romani olim bellum gesserunt pro liberanda Graecia), proculdubio hoc facere cum iustitia possint. ...

... Car la raison généralement reçue est que les pirates sont "communes humani generis hostes", les ennemis de tout le genre humain, et que toutes les nations doivent leur courir sus, non pas tant par crainte que parce qu'ils sont mis au ban du genre humain. Car de même qu'il existe certaines coalitions écrites, faites contre l'ennemi commun de certaines nations, il y a aussi une coalition tacite et une confédération générale de tous les hommes contre l'ennemi commun de toute société humaine ; de sorte qu'il n'est besoin d'aucun avis, d'aucune déclaration de guerre; il n'y a pas besoin d'attendre que la nation qui a souffert se plaigne. La loi de nature remplace toutes ces formalités. Il en est de même pour les brigands sur terre, tels qu'il en existe encore dans certains cantons d'Arabie, et tels que plusieurs petits rois de montagnes qui sont près des défilés et des grands chemins. Ce n'est pas seulement aux princes voisins qu'il est permis d'extirper ces pirates ou ces voleurs; si une nation éloignée veut entreprendre de le faire comme une oeuvre méritoire, elle en a certes le droit. C'est ainsi que les Romains entreprirent une guerre lointaine pour rendre la liberté à la Grèce. ...


3. LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) : Un intervenant dans le dialogue de la guerre sacrée se demande : Un gouvernement exercé par des femmes ne va-t-il pas contre les lois de la nature ? :

Francis Bacon, Dialogue de la guerre sacrée :

... Illud intelligo de gente Amazonum ; ubi regimen, tam publicum, quam priuatum, etiam militia ipsa, penes foeminas residebat. Num quis sanae mentis affirmauerit, huiusmodi imperium, contra ordinem naturae, in principiis suis, institutum, non esse in se uacuum, et nullum, et prorsus abolendum ? De summo foeminarum imperio non loquor ; id enim consiliariis et magistratibus subordinatis masculis suffulcitur ; uerum, ubi regimen status, iustitiae, familiarum, a foeminis, et non aliis, administrabatur. Attamen exemplum hoc postremum a prioribus differt eo, quod in illis periculi metus supponatur, in hoc autem aberratio tantum a lege naturae. Neque haesitarim idem affirmare de sultania Mamalucorum, ubi serui, et nulli alii, pecunia empti, et stirpis incognitae, liberis imperabant. Huic affine esset, si gentem aliquam supponas, apud quam consuetudo talis reciperetur, ut filii, quamprimum ad plenam aetatem peruenerint, parentes e possessionibus suis expellerent, et eis stipendium tantum soluerent : exempla enim ista, imperii foeminarum in uiros, filiorum in patres, seruorum in liberos, similia et cognata inter se sunt; cum in his omnibus ius naturae et gentium manifesto uioletur et peruertatur. ...

Maintenant supposons un pays d'Amazones, et l'antiquité nous laisse à douter si un pays où le gouvernement de l'Etat et de la famille, et la milice même seraient entre les mains des femmes, n'est en effet qu'une supposition; je demande si un gouvernement si insensé n'est pas contraire à la première loi de la nature. L'autorité des femmes sur les hommes n'est-elle pas essentiellement nulle et illégale, et ne doit-elle pas être détruite? Je ne parle pas du règne d'une femme, car elle est soutenue par les conseils de ses ministres et par tous les magistrats inférieurs qui sont toujours des hommes, mais de l'organisation d'un Etat où la chose publique, la justice, la famille, tout est administré par les femmes. Eh bien! ce dernier cas diffère cependant des précédents en ce que ceux-ci sont dangereux pour les autres peuples, et que le gouvernement des Amazones n'est qu'une déviation des lois de la nature. Je ne suis pas loin d'affirmer la même chose du gouvernement des Mameloucks et de leurs sultans; là ce sont des esclaves, et seulement des esclaves d'origine inconnue, achetés pour de l'argent, qui règnent sur des hommes libres. Le cas serait encore le même si l'on supposait une nation où les enfants, parvenus à l'âge de majorité, chasseraient leurs pères et leurs mères de leurs propriétés en leur faisant une pension alimentaire; car ces différents cas d'hommes gouvernés par des femmes, de pères gouvernés par leurs enfants, et d'hommes libres gouvernés par des esclaves, sont à peu près semblables et sont tous des renversements de l'ordre naturel et du droit des gens. ...


4. LECTURE : Francis BACON (1561 - 1626) a le sentiment que la plupart des fables {anciennes} n'étaient pas de l'invention des poètes qui les ont publiées ou rendues célèbres, tels que Homère, Hésiode, etc. :

Francis Bacon, De la sagesse des anciens, Préface :

... Habemus etiam et aliud sensus occulti et inuoluti signum non paruum, quod nonnullae ex fabulis tam absurdae narratione ipsa et insulsae inueniantur, ut parabolam etiam ex longinquo ostentent, et ueluti clament. Quae enim probabilis est fabula, etiam ad uoluptatem et historiae similitudinem conficta existimari potest : quod autem nulli in mentem uenisset cogitare, aut narrare, id in alios usus quaesitum uidetur. Quale enim figmentum illud ; Iouem Metin in uxorem accepisse, eamque statim ut grauidam sensisset comedisse, unde ipse grauidus fieri caepit, et Palladem armatam ex capite peperit ? Equidem existimo nulli mortalium obuenire uel somnium tamextra cogitationis uias situm et monstrosum. Ante omnia illud apud nos maxime ualuit, et plurimum ponderis habuit, quod ex fabulis complures nullo modo nobis uidentur ab eis inuentae, a quibus recitantur et celebrantur, Homero, Hesiodo, reliquis ; si enim liquido nobis constitisset eas ab illa aetate atque illis auctoribus manasse, a quibus commemorantur et ad nos deuenerunt, nil magni certe aut excelsi ab huiusmodi origine nobis (ut nostra fert coniectura) exspectare aut suspicari in mentem uenisset. Verum, si quis attentius rem consideret, apparebit, illas tradi et referri tanquam prius creditas, et receptas, non tanquam tum primo escogitatas et oblatas. Quinetiam cum diuersis modis a scriptoribus fere coaeuis referantur, facile cernas, quod commune habent, ex ueteri memoria desumptum ; in quo uariant, ex singulorum ornatu additum. Atque haec res existimationem earum apud nos auxit, ac si nec aetatis, nec inuentionis poetarum ipsorum essent : sed ueluti reliquiae sacrae, et aurae tenues, temporum meliorum ; quae ex traditionibus nationum magis antiquarum in Graecorum tubas et fistulas incidissent. ...

... Ajoutez que dans quelques-unes de ces fables la narration est quelquefois si ridicule et si absurde que cette absurdité même démontre leur destination et leur sens allégorique; car lorsque la narration d'une fable n'a rien d'invraisemblable ni de choquant, on peut présumer qu'on ne l'a inventée que pour le simple amusement, et que dans cette vue on a tâché de donner au récit la vraisemblance historique. Mais lorsqu'on y voit des choses que personne ne se serait jamais avisé de raconter ni même d'imaginer, on peut en inférer qu'elles avaient une autre destination. De ce dernier genre est la suivante. Jupiter, disent les poètes, épousa Métis; sitôt qu'il la vit enceinte, il la dévora; il eut ensuite lui-même une sorte de grossesse, et, au terme ordinaire de l'accouchement, Pallas sortit de son cerveau toute armée. Il est clair qu'un conte si monstrueux, si extravagant et si éloigné de toutes les voies de la pensée humaine ne se serait pas présenté de lui-même à l'esprit mortel, pas même en songe. Une des considérations qui ont le plus contribué à confirmer notre sentiment sur ce point, c'est que la plupart des fables dont nous parlons n'étaient pas de l'invention des poètes qui les ont publiées ou rendues célèbres, tels que Homère, Hésiode, etc.; car s'il était bien prouvé que ces fictions appartenaient réellement aux poètes dont nous les tenons, une telle origine (autant que nous pouvons le présumer) ne nous annoncerait ni de grandes vues, ni un but fort élevé. Mais, pour peu qu'on les lise avec quelque attention, on reconnaitra aisément que ces poètes les rapportent comme ayant été adoptées et reçues dans des temps plus anciens, non comme nouvelles et comme étant de leur invention. De plus, des auteurs contemporains les uns des autres les rapportant de différentes manières, on doit en inférer que ce qu'elles ont de commun vient des temps plus anciens, et que leurs différences et leurs variations viennent des additions que les différents auteurs auront jugé à propos d'y faire pour les embellir et les rendre plus agréables; ce serait même cette dernière considération qui leur donnerait plus de prix à nos yeux, et qui nous déterminerait à les regarder, non comme des productions de ces poètes mêmes qui nous les ont transmises ni de leurs contemporains, mais comme d'augustes débris d'un siècle plus éclairé et comme une sorte de souffle léger qui, des traditions de quelques nations beaucoup plus anciennes, est venu pour ainsi dire tomber dans les trompettes et les flûtes des Grecs. ...


5. ITINERA ELECTRONICA : Environnements hypertextes & Textes préparés :

A) Environnements hypertextes :

  • Francis BACON (1561 - 1626), De la dignité et de l'accroissement des sciences, livre IV (complet)
    [Texte latin et Traduction française numérisés par nos soins]

    Ingénierie informatique : Boris Maroutaeff, Colin Scoupe

B) Textes préparés :

  • Pierre Chrysologue (v. 380 - 450/451), Correspondance, Lettre à Eutyches
    [Texte latin et Traduction française numérisés par Marc Szwajcer.]
    Traduction française : Histoire universelle de l'Église catholique. t. 3, p. 521, 1900 / par Rohrbacher (BNF) ou J. Gorini, Mélanges littéraires extraits des Pères, t. II, p. 455, 1865, etc.
    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Pierre_Chrysologue/epistula_ad_eutychen.txt
    français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Pierre_Chrysologue/epistula_ad_eutychen_fr.txt

  • Francis BACON (1561 - 1626), Dialogue de la guerre sacrée
    [Texte latin et Traduction française numérisés par nos soins.]
    Traduction française : J. A. C. BUCHON, Oeuvres philosophiques, morales et politiques de François Bacon. Paris, Desrez, 1840
    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Bacon/dialogue_guerre_sacree.txt
    français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Bacon/dialogue_guerre_sacree_fr.txt

  • Francis BACON (1561 - 1626), Sermones fideles siue interiora rerum, Sermo III : De l'unité dans l'église chrétienne
    [Traduction française numérisée par nos soins.]
    Traduction française : A. LASALLE, Oeuvres de François Bacon. Dijon, L.-N. Frantin. XV volumes (1799-1802). Vol.XI.]
    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Bacon/serm_fid_03.txt
    français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Bacon/serm_fid_03_fr.txt

  • Francis BACON (1561 - 1626), De la sagesse des anciens, Préface
    [Texte latin et Traduction française numérisés par nos soins.]
    Traduction française : J. A. C. BUCHON, Oeuvres philosophiques, morales et politiques de François Bacon. Paris, Desrez, 1840
    latin :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Bacon/de_sap_vet_praef.txt
    français :
    http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/files/AClassFTP/Textes/Bacon/de_sap_vet_praef_fr.txt


6. FEC (FOLIA ELECTRONICA CLASSICA) : fascicule 27 :

Site sur la Toile : FEC

Jacques POUCET, Directeur des FEC, nous a communiqué la Table des matières du fascicule 27 (janvier-juin2014) : Folia Electronica Classica  

Folia Electronica Classica (Louvain-la-Neuve)

Numéro 27 - janvier-juin 2014

Table des matières

 

 

Espaces de l'intériorité

Voyages intérieurs en Odyssée dans la pensée antique et chrétienne, par Paul-Augustin Deproost (html 204 K)
 (en preprint)
    http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/Ulysse.html

Autour d'Ariane

Ariane, héroïne élégiaque dans la poésie latine, par Constantin Maes (html 130 K)
 (inédit)
    http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/Ariane.html

La vision romaine du monde juif

La digression de Trogue Pompée-Justin (XXXVI, 1.9-3.8) sur le peuple juif et sa terre. Texte et commentaire, par Stéphanie E. Binder (pdf 728 K)
(inédit)
    http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/binder.pdf

L'épisode égyptien des Enfances de Jésus

La Chute des Idoles dans l'épisode égyptien des Enfances de Jésus. Le témoignage de la littérature médiévale, par Jacques Poucet (pdf 571 K, 67 p.)
(inédit)
    http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/Egypte.pdf

Une prédiction d'éternité liée à la parturition d'une vierge

La prédiction d'éternité conditionnelle portant sur des statues et des bâtiments dans la littérature médiévale, par Jacques Poucet (pdf 506 K, 65 p.)
(inédit)
    http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/Prediction.pdf

Louis-Honoré Cotte (†1849), traducteur du Philoctète de Sophocle

Les écrits en vers dans une traduction versifiée. Considérations sur le « Philoctète » de Louis-Honoré Cotte, suivies de l'édition critique du manuscrit autographe, par Daniel Donnet

I. Présentation d'usage et contribution à la traductologie (pdf 719 K, 63 p.)
(inédit)
     http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/COTTE/Considerations.pdf

II. L'édition critique (pdf 441 K, 58 p.)
(inédit)
    http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/27/COTTE/Edition.pdf

 


Jean Schumacher
10 octobre 2014


 
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Analyse, design et réalisation informatiques : B. Maroutaeff - J. Schumacher

Dernière mise à jour : 17/02/2002