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Date :     16-11-2012

Sujets :
Lecture : Marc Jérôme VIDA (1485 - 1566) décrit l'assemblée satanique ; Lecture : Marc Jérôme VIDA et le destin de Rome ; Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) à propos de l'air qui règne au sommet de l'Olympe ; Lecture : Jacques SADOLET (1477 - 1547) fait l'éloge de la géométrie ; Texte d'étude : Francis BACON (1561 - 1626) à propos de la mort ; Lecture : Jacques SANNAZAR (Jacobo Sannazaro ; entre 1455/1458 - 1530), L'enfantement de la vierge : Invocation ; ITINERA ELECTRONICA : 5 nouveaux environnements hypertextes : Bernard de Clairvaux, Francis Bacon (1561-1626), Fulbert de Chartres (vers 960- 1028), Grégoire VII (pape de 1073 à 1085), Jacques Sadolet ;

Notice :

1. Lecture : Marc Jérôme VIDA (1485 - 1566) décrit l'assemblée satanique :

Marc Jérôme Vida, La Christiade, I, vers 133-155 :

133 Protinus acciri diros ad regia fratres
Limina, concilium horrendum, et genus omne suorum
135 Imperat. Ecce, igitur dedit ingens buccina signum,
Quo subito intonuit caecis domus alta cauernis,
Undique opaca, ingens; antra intonuere profunda,
Atque procul grauido tremefacta est corpore tellus.
Continuo ruit ad portas gens omnis, et adsunt
140 Lucifugi coetus, uaria atque bicorpora monstra,
Pube tenus hominum facies, uerum hispida in anguem
Desinit ingenti sinuata uolumine cauda.
Gorgonas hi, Sphyngasque obscoeno corpore reddunt,
Centaurosque, Hydrasque illi, igniuomasque Chimaeras;
145 Centum alii Scyllas, ac foedificas Harpyias,
Et quae multa homines simulacra horrentia fingunt.

At centum-geminus flammanti uertice supra est
Arbiter ipse Erebi, centenaque brachia iactat
Centimanus, totidemque eructat faucibus aestus.
[1,150] Omnes luctificum fumumque, atrosque procaci
Ore, oculisque ignes, et uastis naribus efflant.
Omnibus intorti pendent pro crinibus angues
Nexantes nodis sese, ac per colla plicantes :
In manibus rutilaeque faces, uncique tridentes,
155 Queis sontes animas subigunt, atque ignibus urgent.

(133) Soudain, à son horrible palais [L’Enfer] il [Satan] convoque, assemblée monstrueuse ! ses frères et ses sujets. L'infernale trompette a donné le signal; le bruit roule comme un tonnerre dans ce repaire immense, profond, ténébreux : les gouffres obscurs ont retenti, et la terre a ébranlé dans le lointain sa pesante masse. Les puissances de l'abîme accourent à pas précipités : ces spectres ennemis du jour présentent à l'oeil des formes bizarres et hideuses. Hommes jusqu'à la ceinture, ils empruntent des serpents une queue qui s'allonge et se recourbe en vastes replis; les uns, par leur affreuse structure, représentent des gorgones et des sphynx, les autres des centaures, des hydres et des chimères qui vomissent des flammes, d'autres encore des scylles, d'immondes harpies, et ces épouvantables fantômes qu'enfante l'imagination humaine. Au-dessus de leurs têtes domine la tête flamboyante du farouche monarque, qui agite à la fois et cent mains et cent bras, et vomit de cent bouches d'infectes vapeurs;
[1,150] tous, de leur fétide gosier, de leurs yeux et de leurs vastes naseaux, exhalent des flammes noires, une fumée meurtrière; tous, au lieu de cheveux, laissent flotter des serpents, qui, l'un sur l'autre roulés, embrassent leur cou d'innombrables replis. Dans leurs mains sont des torches ardentes, des tridents recourbés pour maîtriser les âmes et brûler les coupables.


2. Lecture : Marc Jérôme VIDA et le destin de Rome :

Marc Jérôme Vida (1485 - 1566), La Christiade, I, vers 911-930 :

911 Atque adeo grauida imperiis Roma illa superba,
Appenniniuagi quae propter Tybridis undam
Ingentes populos frenat, pulcherrima rerum,
Summittet fasces, et, quas regit, orbis habenas.
915 Illic relligio, centum illic maxima templa,
Centum arae tibi fumantes, centumque ministri;
Quique uiris late, atque ipsis det iura, sacerdos
Regibus, et summo te in terris reddat honore.
Siqua tamen, paulatim annis labentibus, aetas
920 Decolor infidet mores, uersisque nepotes
Degeneres surgent studiis ; per dura, laboresque,
Exercens lapsam reuocabo in pristina gentem :
Illa malis semper melior se tollet ad astra.
Saepe solo uelut euersam, excisamque uidebis,
925 Quam modo praedixi, populorum incursibus, urbem :
Verum quo magis illa malis exercita, semper
Altius hoc surgens celsum caput inseret astris,
Moeniaque in melius semper recidiua reponet;
Nec nisi subiecto passim sibi desinet orbe.
930 Sic placitum : nostri sedes ea numinis esto".

… et Rome, cette cité fièrement courbée sous le poids des couronnes, Rome, la reine du monde, qui, sur les bords du Tibre, enfant de l'Apennin, enchaîne des peuples puissants, Rome te [Christ] soumettra ses faisceaux et les rênes qui gouvernent l'univers. Là tu verras la religion honorée, cent temples somptueux, cent autels fumants en ton honneur, et, s'élevant au milieu d'innombrables ministres, ce pontife [pape] destiné à donner des lois aux peuples ainsi qu'aux rois, et te représenter par sa dignité sur la terre. Si le cours successif des années vient un jour à ternir les moeurs, changer les sentiments, produire des neveux dégénérés, je saurai, par la sévérité et les revers, les rappeler de leurs écarts à leurs vertus premières : réformés par la disgrâce, ils s'élèveront jusqu'au ciel. Souvent tu la verras, cette cité, comme abattue, réduite en poudre par les efforts de barbares usurpateurs : mais plus l'abîme de ses maux sera profond, plus elle reparaîtra avec éclat, sa tête superbe ira frapper les astres, ses murs ne crouleront que pour se relever plus beaux : l'univers soumis, voilà le terme de ses accroissements telle est ma loi suprême : Rome sera le siège de ma divinité. »


3. Lecture : Francis BACON (1561 - 1626) à propos de l'air qui règne au sommet de l'Olympe :

Francis Bacon, Novum organum, Livre II, aphorisme XII :

… Atque ab antiquis notatum est, in uertice Olympi tantam fuisse aeris tenuitatem, ut necesse fuerit illis qui eo ascenderant secum deferre spongias aceto et aqua madefactas, easque ad os et nares subinde apponere, quia aer ob tenuitatem non sufficiebat respirationi: in quo uertice etiam relatum est, tantam fuisse serenitatem et tranquillitatem a pluuiis et niuibus et uentis, ut sacrificantibus literae descriptae digito in cineribus sacrificiorum super aram Iouis, manerent in annum proximum absque ulla perturbatione.

… Les anciens avaient remarqué déjà qu'au sommet de l'Olympe l'air était si rare qu'il fallait, pour y monter, emporter avec soi des éponges imbibées de vinaigre et d'eau, et les approcher souvent des narines et de la bouche, l'air, à cause de sa rareté, ne suffisant plus à la respiration. On ajoute que, sur ce même sommet où ne tombait ni la pluie ni la neige, où le vent ne soufflait jamais, il régnait un tel calme, que les sacrificateurs traçant de leur doigt des caractères avec la cendre des victimes sur l'autel de Jupiter, ces empreintes demeuraient parfaitement intactes jusqu'à l'année suivante.


4. Lecture : Jacques SADOLET (1477 - 1547) fait l'éloge de la géométrie :

Jacques Sadolet, Sur la manière de bien élever les enfants, ch. XII :

Quid geometriam, quibus uerbis honestabimus? cuius uis disciplinae latius etiam permanat, et in omneis artes penitus opificiaque humanae uitae diffusa est? cum enim puncti sit linearum, superficierum, figurarum, tam in plano, quam in solido scientia, certissimisque nixa rationibus et fundamentis, nusquam labatur, nunquam titubet cum admirabiles praebet intuenda ueritate animis uoluptates, tum omnibus apta rebus non solum atque apposita, ueriim imprimis etiam et maxime necessaria est : illud enim quod unum continet omnia quae arte et manu effici solent, libratio ipsa et collocatio, et unius ad alterum proportione facta commensio geometrica tota est : neque starent tecta urbium et moenia, illaque ampla et praeclara operum monumenta, quae in templis, theatris, fornicibusque uetustis Romanae urbis adhuc conspicimus, non tanta admiratione nos afficerent nisi geometricis fuissent elaborata mensionibus. Quid columnae, porticusque? Quid belli instrumenta et machinae? Quid fingendi, pingendi, et ex aere, aut ex marmore cudendi tantis opificum ingeniis nobilitata quondam et solis ingenuis permissa ars? ipsaque tota nauigatio, et locorum, orarum, regionum, littorum ex geographia sumpta descriptio? agrorumque dimensus et aquarum deriuationes? ac denique, ne singula memorem, quicquid uel oculis spectabile et magnificum, uel ad usus uitae commodum ac necessarium est, huius omne est artis et geometricm facultatis inuentum.

Comment, par quelles paroles honorer la géométrie, dont le domaine, encore plus vaste que celui de cette dernière science {l'astronomie}, embrasse tous les arts, toutes les productions de la vie humaine? Comme elle est la science du point, des lignes, des surfaces, des figures tant planes que solides; comme elle s'appuie sur les raisons et les fondements de la plus grande certitude, elle ne tombe nulle part, jamais elle ne chancelle. Tout en donnant à l'esprit les admirables jouissances de la contemplation de la vérité, non seulement elle s'adapte et s'applique à toutes les choses, mais elle est même surtout d'une indispensable nécessité. En effet, ce qui seul contient tous les produits ordinaires des arts et de la main des hommes, le nivellement et la position, c'est là, en y ajoutant le rapport de l'un à l'autre, toute la commensuration géométrique. Les maisons et les remparts des villes ne resteraient pas debout; ces vastes et magnifiques monuments, chefs-d'oeuvre de la main des hommes, que nous contemplons encore dans les temples, les théâtres, les antiques arcs de triomphe de la ville de Rome, n'exciteraient pas en nous tant d'admiration, s'ils n'avaient pas été construits d'après les mesures de la géométrie. Et les colonnes, et les portiques, et les instruments, et les machines de guerre ? Et l'art de mouler, de peindre, de travailler le marbre ou l'airain, art illustré jadis par de si grands génies, et permis seulement aux hommes libres? Et toute la navigation elle-même? Et la description géographique des lieux, des zones, des régions, des rivages de la mer? Et la mesure des champs, la dérivation des eaux? Enfin, pour ne pas rappeler chaque chose en particulier, tout ce qui est beau et magnifique à voir, tout ce qui est utile et nécessaire aux usages de la vie, tout cela est l'invention de cet art, de la force de la géométrie….


5. Texte d'étude : Francis BACON (1561 - 1626) à propos de la mort :

Francis Bacon, Sermones fideles, Serm II : De morte :

Les hommes redoutent la mort comme les enfants qui ont peur du noir (des ténèbres) ...

Metuunt homines mortem, ut pueri tenebras. Quemadmodum autem metus in pueris augeretur fabulosis quibusdam terriculamentis, ita et ille alter. Sane mortis meditatio, prout mors stipendium est peccati, et ad aliam vitam transitus, pia est et salubris. Metus vero eius, ut est naturae debitum, res est infirma et inanis. Inest tamen nonnunquam piis meditationibus fermentum aliquod vanitatis, necnon superstitionis. Praecipitur in libris nonnullis religiosorum qui tractant de mortificatione, ut recogitet secum homo quantus sit dolor cum vel minimus digiti articulus torquetur, atque inde aestimet quantus sit in morte cruciatus, ubi totum corpus corrumpitur et dissolvitur, cum tamen mors saepenumero transeat minore cum dolore quam sentitur in tortura membri. Partes enim maxime vitales non sunt maxime sensitivae. Nec abs re dictum fuit ab illo, qui locutus est ut philosophus tantummodo et homo animalis, pompa mortis magis terret quam mors ipsa. Gemitus et singultus, membrorumque convulsiones, oris pallor, amici flentes et atrata funera, cum similibus, haec sunt quae mortem ostentant terribilem. Observatione plane dignum est nullam esse animi passionem tam debilem quin superet et in ordinem redigat timorem mortis. Ideoque mors non est hostis adeo formidabilis, cum tam multos habeat homo circa se athletas qui in certamine illam vincant. Ultio de morte triumphat; amor eam parvi facit; honor ambit; metus ignominiae eligit; maeror ad eam confugit; metus anticipat. Imo legimus quod postquam Otho imperator seipsum interfecisset ipsa misericordia (quae affectus est omnium tenerrimus) multos provocarit ad commoriendum ex mera animi compassione erga dominum suum, ut fidissimos asseclas. Quin et addit Seneca fastidium et satietatem: « cogita quam diu eadem feceris ». "Mori velle non tantum fortis aut miser, sed etiam fastidiosus potest". Nec minus observatu dignum est quantillam mutationem in animo generoso et forti appropinquans mors efficere valeat: eosdem enim gerunt homines illi spiritus usque ad supremum momentum. Mortuus est Augustus Caesar voce certe urbana: Livia, coniugii nostri memor, vive et vale. Tiberius inter dissimulandum: ita enim de illo Tacitus, iam Tiberium vires et corpus, non dissimulatio, deserebant. Vespasianus cum scommate, exonerans enim super sella, ut puto, Deus fio. Galba cum gnoma, feri, si ex re sit populi Romani, protendens simul collum. Septimius Severus inter expedienda negotia: adeste, si quid mihi restat agendum. Pariter et alii. Certe Stoici nimium insumpserunt operae in solatia mortis. Etenim grandi suo contra eum apparatu effecerunt ut terribilior videretur. Rectius ille, qui finem vitae extremum inter munera ponit naturae. Aeque enim est naturale hominibus mori ac nasci, atque infans forsan non minorem sentit dolorem ex hoc quam ex illo. Qui moritur inter prosequendum magnum aliquod desiderium ita se habet ut vulneratus, sanguine adhuc fervente, qui plagam vix sentit. Itaque mens in aliquod bonum fixa et intenta a doloribus mortis se subducit. Verum enimvero super omnia suavissimum canticorum est illud, nunc dimittis, cum quis fines suos et expectationes honestas assectus fuerit. Hoc item in se habet mors, ut bonae famae ianuam aperiat et livorem extinguat: extinctus amabitur idem.

Cfr. Sénèque, Lettres à Lucilius, IX, Lettre LXXVII, 5 :

… Non est res magna uiuere: omnes serui tui uiuunt, omnia animalia: magnum est honeste mori, prudenter, fortiter. Cogita quamdiu iam idem facias: cibus, somnus, libido, ... per hunc circulum curritur; mori uelle non tantum prudens aut fortis aut miser, etiam fastidiosus potest. ...

… Ce n'est pas une si grande affaire que de vivre; vos esclaves vivent tous, et les animaux aussi vivent : une grande affaire, c'est de mourir honnêtement, sagement et avec courage. Songez combien il y a de temps que vous faites la même chose: manger, dormir, se livrer aux passions honteuses, voilà le cercle d'où l'on ne sort pas. Pour se donner la mort, il n'est pas nécessaire d'être sage, fort, ou malheureux; il suffit d'être dégoûté de la vie.


6. Lecture : Jacques SANNAZAR (Jacobo Sannazaro ; entre 1455/1458 - 1530), L'enfantement de la vierge : Invocation :

Jacques Sannazar, L'Enfantement de la vierge, Chant I, vers 1 - 18 :

1 Virginei partus, magnoque aequaeua Parenti
progenies, superas caeli quae missa per auras
antiquam generis labem mortalibus aegris
abluit, obstructique uiam patefecit Olympi,
sit mihi, Caelicolae, primus labor: hoc mihi primum
surgat opus: uos, auditas ab origine causas,
et tanti seriem, si fas, euoluite facti!
Nec minus, o Musae, uatum decus, hic ego uestros
optarim fontes, uestras nemora ardua rupes:
10 quandoquidem genus e caelo deducitis, et uos
uirginitas, sanctaeque iuuat reuerentia famae:
uos igitur, seu cura poli, seu Virginis huius
tangit honos, monstrate uiam, qua nubila uincam,
et mecum immensi portas recludite caeli.
Magna quidem, magna, Aonides, sed debita posco,
nec uobis ignota: etenim potuistis et antrum
aspicere et choreas, nec uos orientia caelo
signa, nec Eoos Reges latuisse putandum est.

L'enfant d'une Vierge, le fils et l'égal de l'Eternel, descendu à travers l'espace des airs, pour enlever aux malheureux mortels la tache antique de leur origine et leur rouvrir la route longtemps fermée du fortuné séjour, tel est le sujet de mes premiers chants, tel le premier ouvrage que vont élever mes efforts. O vous, habitants des cieux, qui, dès le commencement, l'avez appris, déroulez, si le récit n'est pas un crime, déroulez à mes yeux la cause et les suites de ce grand événement ! Vous aussi, protectrices des poètes, Muses, souriez à mes désirs : j'invoque ici vos sources, vos grottes, vos bois sourcilleux. C'est du ciel que vous tirez votre origine : aussi vous aimez la virginité et savez apprécier l'innocence. Soit que la gloire du céleste palais, soit que l'honneur de cette Vierge vous intéresse, montrez-moi un chemin qui m'élève au-dessus de la nue, et venez m'ouvrir les portes du vaste Olympe. Elle est grande sans doute, mais elle est juste, la faveur que je demande. Déesses d'Aonie, vous en connaissez l'objet; car vous avez pu contempler la crèche de l'Enfant, les choeurs des Anges; et j'aime à croire que l'étoile étincelante sur la voûte éthérée et les monarques de l'Orient n'ont pas échappé à vos regards.

Nous avons entrepris de numériser, de reconnaître optiquement et de préparer cette oeuvre en plusieurs chants en vue de la création d' environnements hypertextes.
Traduction française : abbé S. De La Tour, L'Enfantement de la vierge. Poème traduit du latin de Sannazar. Paris, Merlin, 1830


7. ITINERA ELECTRONICA & environnements hypertextes :

Cette semaine-ci, Christian RUELL a pu créer 5 nouveaux environnements hypertextes :

  • Bernard de Clairvaux (saint), Les douze degrés de l'orgeueil, texte complet [Traduction française reprise au site de l'Abbaye Saint Benoît de Port-Valais]
  • Francis Bacon (1561 - 1626), Novum organum, livre II, aphorismes 11 et 12
  • Fulbert de Chartres (vers 960 - 1028), Lettres, lettre CVI : A Odilon, abbé de Cluny
  • Grégoire VII (pape de 1073 à 1085), Dictatus papae (1075 ?), texte complet [Traduction française reprise au site WIKIPEDIA]
  • Jacques Sadolet (1477 - 1547), Sur la manière de bien élever les enfants, Chapitre XII

Les textes bruts de ces oeuvres sont disponibles dans le Dépôt ITINERA ELECTRONICA.



 
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Dernière mise à jour : 17/02/2002